À l’origine d’Optic For Good, il y a Carole la fondatrice. Officiellement, elle est encore seule dans l’entreprise. Même si, comme on vous le disait récemment sur notre compte Instagram, il y a en réalité tout un écosystème de personnes qui travaillent avec elle pour faire grandir Optic for Good.
Le premier écueil, c’est donc celui de la mention ESS, dont l’une des obligations est la gouvernance partagée… Plutôt difficile à appliquer quand on est seul.e. Faut-il pour autant se mettre absolument en quête d’un.e associé.e ?
Ensuite, pour obtenir le statut d’entreprise à mission, on vous le disait, il faut faire appel à des organismes certificateurs tels que l’Afnor. Avec le temps, et l’expertise de Carole en tant qu’opticienne, Optic for Good est devenu la référence en termes de durabilité et de responsabilité sociale dans le domaine de l’optique. La problématique avec les centres certificateurs externes, c’est qu’ils n’ont pas UN domaine d’activité en particulier, mais plein de secteurs différents. Ainsi, au cours des différents échanges, on s’est vite rendu compte que leur expertise en termes d’optique est finalement assez limitée. Il nous a donc semblé, là encore, peu cohérent de nous voir accorder une certification par une instance qui s’y connaît moins bien que nous en optique…
Pour ces raisons Optic for Good n’est donc pas reconnue officiellement comme entreprise de l’ESS ou entreprise à mission.
[…] société, agréée ESUS, remet l’humain au cœur du métier d’auxiliaire de […]